Les trajectoires se délient dans une grammaire aléatoire, humoristique et sympathique
Le maillage se détend, les pensées se rattrapent et se libèrent dans une mouvance créatrice
Provoquant l’évidence, l’instinct et l’intuition.
Détruire et se régénérer, ailleurs ou ici même selon un algorithme aléatoire, mais si puissamment créateur...
Bienvenue et longue vie à toi, JRAD 15 !

Jrad 14 (le meilleur des JRAD) : 140 pages
Jrad 13 (Hotline) : 178 pages
Jrad 12 (Renaissance) : 166 pages
Jrad 11 : 123 pages
Jrad 10 (sous le signe du rat) : 101 pages
Jrad 9 (confit de Terrien) : 130 pages
Jrad 8 (déjà !) : 155 pages
Jrad 7 (j'ai rien à dire) : 100 pages
Jrad 6 : 114 pages
Jrad 5 : 88 pages
Jrad 4 : 92 pages
Jrad 3 : 49 pages
Jrad 2 : 67 pages
Jrad : 34 pages
Introduction très inspirée du poëme "Émergence" de Nadia Ben Slima